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vendredi 31 décembre 2010

Google 2011
Google affiche un doodle spécial sur son site et ceci pour célébrer le “réveillon du jour de l’an” (c’est la requête qui est proposée en cliquant sur le doodle de Google). Pour ceux qui ne comprennent pas le sens du doodle de Google, les lettres dorées sont en fait un chiffre romains dont le sens est 2011.
M = mille MM = 2000 X = 10 I =1 - Le tout fait MMXI = 2011
I = 1 V =5 X = 10 C = 100 etc

Bonne Année 2011 de Baidu
Baidu propose aussi un petit logo pour cette nouvelle année 2011. En cliquant sur ce logo, on est redirigé vers une page du blog de Baidu où le moteur de recherche chinois souhaite une Bonne Année 2011 à tous et propose aussi une retrospective de ses logos dédiés pour le nouvel an.

Yandex affiche aussi un logo dédié. Quand à Yahoo et Bing, ils ont oublié ce jour de fête et ils n’affichent rien de spécial pour ce changement d’année… ce que nous pouvons comprendre par le fait que ce soit deux acteurs minuscules du web.

Pour WebAgency, toute l'équipe se joignent à moi pour vous souhaiter une Bonne Année 2011.
Driss Barakat
DG

jeudi 16 décembre 2010

Référencement par communiqués de presse

Le référencement est un ensemble de techniques permettant de rendre un site populaire artificiellement. Je vais dès lors vous livrer mon « secret de référencement » : cette création de popularité doit avoir l’air la plus naturelle possible. Ce qui implique de mener de front une multitude d’actions diverses afin de rendre votre site suffisamment notoire afin qu’il atteigne la fameuse première page de Google.

Parmi celles-ci, la rédaction et diffusion d’articles relatant votre activité sera une source de liens très qualitative (lien dans du contenu, contenu sémantique en corrélation avec la thématique du site, balises optimisées…).

Mais comment et où publier ? Le « comment » rentrera dans votre stratégie de référencement, pensez simplement à insérer quelques liens bien choisis et pointant parfois vers vos pages internes. Le « où » est justement la raison de cet article.

J’ai arbitrairement choisi une liste non exhaustive de sites de diffusion de communiqués de presse que j’affectionne particulièrement. Le page rank de la home de ces sites est repris mais sachez qu’il est un critère que personnellement je ne prends pas en compte. Les points importants étant la possibilité d’insertion de Bl (backlinks / liens) en dofollow, la vitesse de validation puis d’indexation de vos articles, l’unicité du contenu (un lien pointant vers votre site dans un même texte depuis plusieurs supports réduit notablement son efficacité), la hiérarchisation du site et la pérennité du site de diffusion de cp (communiqués de presse).

Voici donc quelques exemples de sites de diffusion de communiqués de presse à contenus uniques :

www.megacherche.com
Pr4
Validation rapide
Articles rapidement indexés
Note arbitraire : 4/5 (administrateur sympathique qui gère également un site de cp de niche : http://www.le-medieviste.com/ )

www.communique-de-presse-gratuit.com
Pr4
Validation un peu longue
Articles rapidement indexés
Note arbitraire : 3/5 (due à l’attente de validation)

Pour plus d'information contactez nous:
Web Agency SARL
info@agency.ma

Driss Barakat
0667 067 876

ou
IM Communication SARL
info@im-communication.com
0661 055 064

lundi 6 décembre 2010

Difficultés de positionnement sur des requêtes fortes, solution

Il y a un bail, il était relativement facile de se positionner sur des requêtes phare pour un éditeur publicitaire travaillant seul.

Aujourd’hui, il n’est pratiquement plus possible de se positionner avec une seule page sur une requête de première importance. Les algorithmes des moteurs ne vont pas se simplifier. Le nombre de pages Internet, la concurrence, va continuer à augmenter de manière exponentielle et la présence de grandes entreprises qui souhaitent maîtriser de A à Z leur vitrine Internet, avec de gros moyens, va s’accentuer.

Le positionnement des pages anciennes, et de ce fait leur rendement, s’effrite noyé dans la concurrence quand ce n’est pas éliminé, d’une façon ou d’une autre, du moteur leader. Où il était possible de vivre correctement avec une ou deux grosses centaines de pages bien aiguisées, il en faudra très bientôt des milliers.

Quelle stratégie à adopter pour celui qui désirerais, malgré un avenir peu engageant, persévérer dans cette voie ?
Il m’est apparu trois voies principales, intéressantes à explorer et à panacher en un subtil cocktail personnel :

En premier lieu et afin de se créer des sources parfaitement contrôlées de liens, en plus de survivre au naufrage, toujours possible, d’un domaine : on ne peut que conseiller leur multiplication, comme celle des sujets traités. Ne créer pas un porte-avion susceptible de se retrouver seul échoué sur un banc de sable mais plutôt une petite armada légère et ultra-mobile. Si elle épaule de gros bâtiments puissants, c’est le bonheur absolu mais cela nécessitera encore « quelques » heures de travail en plus.

Si l’anglais paraît pratiquement intouchable, le positionnement en langue française est sans doute le deuxième en termes de difficulté. Ceci beaucoup par sa richesse et ses subtilités de syntaxe en plus de, bien entendu, la forte concurrence qui y règne. Le positionnement dans certaines langues reste pourtant, encore aujourd’hui, très accessible. Si l’allemand m’a surpris : beaucoup plus compliqué que je ne le pensais, l’espagnol n’est encore pas insurmontable et le potentiel hispanophone, toujours en forte expansion, déjà très important. La concurrence devient clairement beaucoup plus tendre en italien et elle est pratiquement inexistante en grec par exemple. Le bémol de ces deux langues en étant le « faible » nombre de locuteurs. La difficulté majeure des marchés étrangers restant d’en prendre le pouls. Il s’agit de découvrir ce qui intéresse et ce qui a un intérêt dans une autre culture, en plus de cerner la syntaxe de l’expression de cet intérêt dans un moteur de recherche.

Le troisième axe à explorer sérieusement est le choix des requêtes. Une cinquième page, même sur une requête de tout premier ordre, ne représente qu’un intérêt anecdotique. Un très bon positionnement, dans les cinq premiers résultats, sur une requête de deuxième ou de troisième zone est très certainement beaucoup plus rentable. S’il y avait une époque où toute l’astuce était de trouver les requêtes de tout premier plan, on peut aujourd’hui faire un nombre de visiteurs très honorable sur des requêtes plus à beaucoup plus confidentielles. Toute l’astuce est devenue de trouver ces requêtes recherchées par des catégories d’Internautes plus précises, plus profilées, encore ignorées de vos concurrents mais pas des commerciaux qui souhaiteraient y placer de la publicité. Ce genre de démarche peut paraître confiner un à une loterie mais quelques expériences et une touche d’originalité limite drastiquement la part de hasard sans pour autant préserver des surprises, majoritairement bonnes.

Cette démarche est aussi propre à s’approcher de requêtes très prisées bâties sur les fondations constituées de requêtes collatérales. Prenons un exemple concret dans le créneau le plus facile à cette démarche, le tourisme : quand vous serez devenu incontournable pour les moteurs de recherche sur tous les petits villages d’une côte, il vous accordera plus facilement une bonne place pour la capitale de la région si elle est appuyée par sa banlieue ?

mardi 23 novembre 2010

Payer un référencement ou un référenceur ou le faire soit même ?

Une question revient souvent : Pourquoi payer un référenceur au lieu de réaliser soi-même son référencement. Quelques recherches rapides sur les moteurs vont très vite vous amener des résultats sur comment référencer votre site internet.

Il est très facile de trouver sur le web de nos jours, des renseignements sur comment référencer un site internet. Après quelques lectures beaucoup vont pouvoir référencer un site. Les conseils seront toujours les mêmes : Respecter les consignes édictées par Google, les balises méta, le contenu, avec quelques liens sur les annuaires et hop vous vous verrez déjà en première page de Google

Ils seront nombreux à s’arrêter là. D’autres iront plus loin et chercheront à essayer de comprendre comment fonctionne l’algorithme de google. Ils se lanceront dans des lectures sur l’unicité des contenus, la sémantique, la pertinence, les densités,… Au bout de quelques mois, voir plus pour ceux qui ne travaillent pas à plein temps dessus. Ils auront compris comment référencer leur site. Manque de chance pour eux, les informations qu’ils ont lu, sont déjà périmés depuis quelques temps. Ils devront continuer à étudier le référencement.

Pour en revenir à mon expérience personnelle, il y a quelques mois, une idée a germé dans ma tête. Je voulais construire moi même ma maison. Ça à l’air facile, fait par un professionnel du bâtiment. Heureusement que j’ai fait appel à un entrepreneur. Je suis allé sur le chantier quelques jours et j’ai vite compris que son travail n’est pas si facile que ça. Comme dans beaucoup de métiers, une solide expérience ça aide

Le travail du référenceur consiste, sans compter ses solides bases en référencement :
  • Lire des centaines de pages web par jour : Pour se tenir informé des dernières évolutions dans le domaine du référencement. Son métier n’est pas statique mais en perpétuel mutation
  • Vérifier les informations glanées sur la toile : En effectuant des tests, pour ensuite les valider
  • Avoir un sens aigu du relationnel : Pour son travail, il doit établir un vaste réseau sur la toile

En conclusion, il est possible de référencer un site soi même. Il vous suffit juste d’avoir du temps à passer devant votre ordinateur environ 5 / 7 jours plus de 8 heures par jours, de l’argent pour acheter des logiciels spécifiques au référencement, tous ne sont pas gratuits.

En payant pour un référencement, vous rémunérez une personne ou une équipe qui va réaliser un travail pour positionner votre site.

jeudi 18 novembre 2010

Outils pour le référencement naturel

Le référencement, particulièrement dans des domaines hyper concurrentiels, est loin d’être simple et positionner votre site Web dans le top 3 de Google devient particulièrement difficile. Il faut s’armer de patience, enrichir ses compétences en permanence et s’équiper lourdement en outils SEO multiples.

Il existe pléthore d’outils en ligne pour la veille et l’optimisation du référencement naturel de votre site Web.

Voici quelques outils SEO en ligne très pratiques pour améliorer votre productivité :

www.google.com/webmasters/tools?hl=fr :
Webmaster Tools requiert la création d’un compte mais vous permettra de tout connaitre ou presque sur votre site et en modifier ses paramètres (sites link, géo localisation…).

www.google.com/insights/search/?hl=fr :
Sans doute un des outils les plus justes fournit par Google pour savoir quelles sont les mots clés et expressions de votre activité permettant d’avoir le plus de trafic ciblé.

www.referencement-gratuit.com/page-rank.html :
Pour vous permettre de connaître le page rank de votre site Web sur plusieurs data center Google. Outil utile lors de la mise à jour de la tootlbar.

Il existe plusieurs d’autres outils en ligne pour l'optimisation du référencement naturel de votre site Web  n'hésitez pas  de nous contacter !

dimanche 7 novembre 2010

Visibilité sur moteur de recherche, optimisation du référencement

La crédibilité et l’avenir d’un moteur de recherche sont basés sur deux fondamentaux incontournables :
1. Répondre très exactement à l’attente de l’Internaute.
2. Rentabilisez au maximum ses investissements et son savoir.


Pour satisfaire au point 1, l’algorithme du moteur se devra de repérer toutes les astuces ou les divers « pièges », plus ou moins subtils, mis au point par des positionneurs plus ou moins imaginatifs.

Pour satisfaire au point 2, le moteur s’évertuera à éliminer tous les parasites susceptibles de grappiller quelques revenus à améliorer la visibilité d’une entreprise commerciale qui en sera, sans eux, condamnée à acheter de la publicité.

Ces deux démarches sont intimement liées et peuvent se résumer simplement à éliminer positionneurs et référenceurs…

La seule chance de visibilité ne pourra donc être attendue, à terme, que de sites ou de pages répondant au plus stricte, et au plus près, aux bases du positionnement et bénéficiant d’un contenu de haute qualité.

Les trois premières priorités apparaissent comme être :

Le titre de la page, la balise « title ». Elle apparaît en titre du lien dans le moteur de recherche. Elle est concise, claire, attractive, et contient les mots clefs de la page. On y évite pronom, article, verbes conjugués, etc., au maximum, sans atteindre à l’intelligibilité de l’énoncé.

La balise « description » qui décrit le contenu de votre page. Elle reprend les mots clefs titre de la page et développe l’idée de son contenu avec l’utilisation de la deuxième garde de mots clefs. Comme pour la balise « title » on essaye de la construire en utilisant un maximum de mots susceptibles de se trouver dans une requête que le contenu de la page satisfera parfaitement, en limitant au plus stricte les autres et en restant compréhensible et attractif.

Le contenu est hautement didactique (une citation en référence ou en lien extérieur dans des pages du style Wikipedia étant la cible à viser). On utilise « title » et « description » en titre, en sous-titre ou en introduction, dans tous les cas dans la toute première partie du texte (tel que vu par les moteurs !), de la page. Dans le « body texte », on évite de remplacer les mots clefs du titre et de la description par des pronoms ou des synonymes et on fait exactement le contraire avec les mots qui ne sont pas dans le titre et la description.

Ces trois éléments pourraient rester à jamais incontournables pour la simple raison qu’ils semblent guerre contournables par les moteurs. Il s’y ajoute les 1001 autres éléments à soigner dans les moindres détails, des plus importants aux plus anecdotiques. Ils sont eux susceptibles de varier en importance, voir disparaître ou réapparaître, au rythme des innombrables mises aux points propres à atteindre le but ultime, le seul et unique : rester crédible et gagner un maximum d’argent.

La bulle du référencement gonfle encore mais va exploser. Il ne restera que les petites structures très créatives, mobiles intellectuellement, expérimentées et capables en plus de donner quelque chose aux moteurs ; du contenu (plutôt que des services qui, rentables, seront vite repris par les moteurs).

Le sens de l’histoire va de la société industrielle vers la société du savoir qui privilégiera celui-ci (même si son exploitation nécessitera de plus en plus de sueur)…