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mardi 23 novembre 2010

Payer un référencement ou un référenceur ou le faire soit même ?

Une question revient souvent : Pourquoi payer un référenceur au lieu de réaliser soi-même son référencement. Quelques recherches rapides sur les moteurs vont très vite vous amener des résultats sur comment référencer votre site internet.

Il est très facile de trouver sur le web de nos jours, des renseignements sur comment référencer un site internet. Après quelques lectures beaucoup vont pouvoir référencer un site. Les conseils seront toujours les mêmes : Respecter les consignes édictées par Google, les balises méta, le contenu, avec quelques liens sur les annuaires et hop vous vous verrez déjà en première page de Google

Ils seront nombreux à s’arrêter là. D’autres iront plus loin et chercheront à essayer de comprendre comment fonctionne l’algorithme de google. Ils se lanceront dans des lectures sur l’unicité des contenus, la sémantique, la pertinence, les densités,… Au bout de quelques mois, voir plus pour ceux qui ne travaillent pas à plein temps dessus. Ils auront compris comment référencer leur site. Manque de chance pour eux, les informations qu’ils ont lu, sont déjà périmés depuis quelques temps. Ils devront continuer à étudier le référencement.

Pour en revenir à mon expérience personnelle, il y a quelques mois, une idée a germé dans ma tête. Je voulais construire moi même ma maison. Ça à l’air facile, fait par un professionnel du bâtiment. Heureusement que j’ai fait appel à un entrepreneur. Je suis allé sur le chantier quelques jours et j’ai vite compris que son travail n’est pas si facile que ça. Comme dans beaucoup de métiers, une solide expérience ça aide

Le travail du référenceur consiste, sans compter ses solides bases en référencement :
  • Lire des centaines de pages web par jour : Pour se tenir informé des dernières évolutions dans le domaine du référencement. Son métier n’est pas statique mais en perpétuel mutation
  • Vérifier les informations glanées sur la toile : En effectuant des tests, pour ensuite les valider
  • Avoir un sens aigu du relationnel : Pour son travail, il doit établir un vaste réseau sur la toile

En conclusion, il est possible de référencer un site soi même. Il vous suffit juste d’avoir du temps à passer devant votre ordinateur environ 5 / 7 jours plus de 8 heures par jours, de l’argent pour acheter des logiciels spécifiques au référencement, tous ne sont pas gratuits.

En payant pour un référencement, vous rémunérez une personne ou une équipe qui va réaliser un travail pour positionner votre site.

jeudi 18 novembre 2010

Outils pour le référencement naturel

Le référencement, particulièrement dans des domaines hyper concurrentiels, est loin d’être simple et positionner votre site Web dans le top 3 de Google devient particulièrement difficile. Il faut s’armer de patience, enrichir ses compétences en permanence et s’équiper lourdement en outils SEO multiples.

Il existe pléthore d’outils en ligne pour la veille et l’optimisation du référencement naturel de votre site Web.

Voici quelques outils SEO en ligne très pratiques pour améliorer votre productivité :

www.google.com/webmasters/tools?hl=fr :
Webmaster Tools requiert la création d’un compte mais vous permettra de tout connaitre ou presque sur votre site et en modifier ses paramètres (sites link, géo localisation…).

www.google.com/insights/search/?hl=fr :
Sans doute un des outils les plus justes fournit par Google pour savoir quelles sont les mots clés et expressions de votre activité permettant d’avoir le plus de trafic ciblé.

www.referencement-gratuit.com/page-rank.html :
Pour vous permettre de connaître le page rank de votre site Web sur plusieurs data center Google. Outil utile lors de la mise à jour de la tootlbar.

Il existe plusieurs d’autres outils en ligne pour l'optimisation du référencement naturel de votre site Web  n'hésitez pas  de nous contacter !

dimanche 7 novembre 2010

Visibilité sur moteur de recherche, optimisation du référencement

La crédibilité et l’avenir d’un moteur de recherche sont basés sur deux fondamentaux incontournables :
1. Répondre très exactement à l’attente de l’Internaute.
2. Rentabilisez au maximum ses investissements et son savoir.


Pour satisfaire au point 1, l’algorithme du moteur se devra de repérer toutes les astuces ou les divers « pièges », plus ou moins subtils, mis au point par des positionneurs plus ou moins imaginatifs.

Pour satisfaire au point 2, le moteur s’évertuera à éliminer tous les parasites susceptibles de grappiller quelques revenus à améliorer la visibilité d’une entreprise commerciale qui en sera, sans eux, condamnée à acheter de la publicité.

Ces deux démarches sont intimement liées et peuvent se résumer simplement à éliminer positionneurs et référenceurs…

La seule chance de visibilité ne pourra donc être attendue, à terme, que de sites ou de pages répondant au plus stricte, et au plus près, aux bases du positionnement et bénéficiant d’un contenu de haute qualité.

Les trois premières priorités apparaissent comme être :

Le titre de la page, la balise « title ». Elle apparaît en titre du lien dans le moteur de recherche. Elle est concise, claire, attractive, et contient les mots clefs de la page. On y évite pronom, article, verbes conjugués, etc., au maximum, sans atteindre à l’intelligibilité de l’énoncé.

La balise « description » qui décrit le contenu de votre page. Elle reprend les mots clefs titre de la page et développe l’idée de son contenu avec l’utilisation de la deuxième garde de mots clefs. Comme pour la balise « title » on essaye de la construire en utilisant un maximum de mots susceptibles de se trouver dans une requête que le contenu de la page satisfera parfaitement, en limitant au plus stricte les autres et en restant compréhensible et attractif.

Le contenu est hautement didactique (une citation en référence ou en lien extérieur dans des pages du style Wikipedia étant la cible à viser). On utilise « title » et « description » en titre, en sous-titre ou en introduction, dans tous les cas dans la toute première partie du texte (tel que vu par les moteurs !), de la page. Dans le « body texte », on évite de remplacer les mots clefs du titre et de la description par des pronoms ou des synonymes et on fait exactement le contraire avec les mots qui ne sont pas dans le titre et la description.

Ces trois éléments pourraient rester à jamais incontournables pour la simple raison qu’ils semblent guerre contournables par les moteurs. Il s’y ajoute les 1001 autres éléments à soigner dans les moindres détails, des plus importants aux plus anecdotiques. Ils sont eux susceptibles de varier en importance, voir disparaître ou réapparaître, au rythme des innombrables mises aux points propres à atteindre le but ultime, le seul et unique : rester crédible et gagner un maximum d’argent.

La bulle du référencement gonfle encore mais va exploser. Il ne restera que les petites structures très créatives, mobiles intellectuellement, expérimentées et capables en plus de donner quelque chose aux moteurs ; du contenu (plutôt que des services qui, rentables, seront vite repris par les moteurs).

Le sens de l’histoire va de la société industrielle vers la société du savoir qui privilégiera celui-ci (même si son exploitation nécessitera de plus en plus de sueur)…