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vendredi 31 décembre 2010

Google 2011
Google affiche un doodle spécial sur son site et ceci pour célébrer le “réveillon du jour de l’an” (c’est la requête qui est proposée en cliquant sur le doodle de Google). Pour ceux qui ne comprennent pas le sens du doodle de Google, les lettres dorées sont en fait un chiffre romains dont le sens est 2011.
M = mille MM = 2000 X = 10 I =1 - Le tout fait MMXI = 2011
I = 1 V =5 X = 10 C = 100 etc

Bonne Année 2011 de Baidu
Baidu propose aussi un petit logo pour cette nouvelle année 2011. En cliquant sur ce logo, on est redirigé vers une page du blog de Baidu où le moteur de recherche chinois souhaite une Bonne Année 2011 à tous et propose aussi une retrospective de ses logos dédiés pour le nouvel an.

Yandex affiche aussi un logo dédié. Quand à Yahoo et Bing, ils ont oublié ce jour de fête et ils n’affichent rien de spécial pour ce changement d’année… ce que nous pouvons comprendre par le fait que ce soit deux acteurs minuscules du web.

Pour WebAgency, toute l'équipe se joignent à moi pour vous souhaiter une Bonne Année 2011.
Driss Barakat
DG

jeudi 16 décembre 2010

Référencement par communiqués de presse

Le référencement est un ensemble de techniques permettant de rendre un site populaire artificiellement. Je vais dès lors vous livrer mon « secret de référencement » : cette création de popularité doit avoir l’air la plus naturelle possible. Ce qui implique de mener de front une multitude d’actions diverses afin de rendre votre site suffisamment notoire afin qu’il atteigne la fameuse première page de Google.

Parmi celles-ci, la rédaction et diffusion d’articles relatant votre activité sera une source de liens très qualitative (lien dans du contenu, contenu sémantique en corrélation avec la thématique du site, balises optimisées…).

Mais comment et où publier ? Le « comment » rentrera dans votre stratégie de référencement, pensez simplement à insérer quelques liens bien choisis et pointant parfois vers vos pages internes. Le « où » est justement la raison de cet article.

J’ai arbitrairement choisi une liste non exhaustive de sites de diffusion de communiqués de presse que j’affectionne particulièrement. Le page rank de la home de ces sites est repris mais sachez qu’il est un critère que personnellement je ne prends pas en compte. Les points importants étant la possibilité d’insertion de Bl (backlinks / liens) en dofollow, la vitesse de validation puis d’indexation de vos articles, l’unicité du contenu (un lien pointant vers votre site dans un même texte depuis plusieurs supports réduit notablement son efficacité), la hiérarchisation du site et la pérennité du site de diffusion de cp (communiqués de presse).

Voici donc quelques exemples de sites de diffusion de communiqués de presse à contenus uniques :

www.megacherche.com
Pr4
Validation rapide
Articles rapidement indexés
Note arbitraire : 4/5 (administrateur sympathique qui gère également un site de cp de niche : http://www.le-medieviste.com/ )

www.communique-de-presse-gratuit.com
Pr4
Validation un peu longue
Articles rapidement indexés
Note arbitraire : 3/5 (due à l’attente de validation)

Pour plus d'information contactez nous:
Web Agency SARL
info@agency.ma

Driss Barakat
0667 067 876

ou
IM Communication SARL
info@im-communication.com
0661 055 064

lundi 6 décembre 2010

Difficultés de positionnement sur des requêtes fortes, solution

Il y a un bail, il était relativement facile de se positionner sur des requêtes phare pour un éditeur publicitaire travaillant seul.

Aujourd’hui, il n’est pratiquement plus possible de se positionner avec une seule page sur une requête de première importance. Les algorithmes des moteurs ne vont pas se simplifier. Le nombre de pages Internet, la concurrence, va continuer à augmenter de manière exponentielle et la présence de grandes entreprises qui souhaitent maîtriser de A à Z leur vitrine Internet, avec de gros moyens, va s’accentuer.

Le positionnement des pages anciennes, et de ce fait leur rendement, s’effrite noyé dans la concurrence quand ce n’est pas éliminé, d’une façon ou d’une autre, du moteur leader. Où il était possible de vivre correctement avec une ou deux grosses centaines de pages bien aiguisées, il en faudra très bientôt des milliers.

Quelle stratégie à adopter pour celui qui désirerais, malgré un avenir peu engageant, persévérer dans cette voie ?
Il m’est apparu trois voies principales, intéressantes à explorer et à panacher en un subtil cocktail personnel :

En premier lieu et afin de se créer des sources parfaitement contrôlées de liens, en plus de survivre au naufrage, toujours possible, d’un domaine : on ne peut que conseiller leur multiplication, comme celle des sujets traités. Ne créer pas un porte-avion susceptible de se retrouver seul échoué sur un banc de sable mais plutôt une petite armada légère et ultra-mobile. Si elle épaule de gros bâtiments puissants, c’est le bonheur absolu mais cela nécessitera encore « quelques » heures de travail en plus.

Si l’anglais paraît pratiquement intouchable, le positionnement en langue française est sans doute le deuxième en termes de difficulté. Ceci beaucoup par sa richesse et ses subtilités de syntaxe en plus de, bien entendu, la forte concurrence qui y règne. Le positionnement dans certaines langues reste pourtant, encore aujourd’hui, très accessible. Si l’allemand m’a surpris : beaucoup plus compliqué que je ne le pensais, l’espagnol n’est encore pas insurmontable et le potentiel hispanophone, toujours en forte expansion, déjà très important. La concurrence devient clairement beaucoup plus tendre en italien et elle est pratiquement inexistante en grec par exemple. Le bémol de ces deux langues en étant le « faible » nombre de locuteurs. La difficulté majeure des marchés étrangers restant d’en prendre le pouls. Il s’agit de découvrir ce qui intéresse et ce qui a un intérêt dans une autre culture, en plus de cerner la syntaxe de l’expression de cet intérêt dans un moteur de recherche.

Le troisième axe à explorer sérieusement est le choix des requêtes. Une cinquième page, même sur une requête de tout premier ordre, ne représente qu’un intérêt anecdotique. Un très bon positionnement, dans les cinq premiers résultats, sur une requête de deuxième ou de troisième zone est très certainement beaucoup plus rentable. S’il y avait une époque où toute l’astuce était de trouver les requêtes de tout premier plan, on peut aujourd’hui faire un nombre de visiteurs très honorable sur des requêtes plus à beaucoup plus confidentielles. Toute l’astuce est devenue de trouver ces requêtes recherchées par des catégories d’Internautes plus précises, plus profilées, encore ignorées de vos concurrents mais pas des commerciaux qui souhaiteraient y placer de la publicité. Ce genre de démarche peut paraître confiner un à une loterie mais quelques expériences et une touche d’originalité limite drastiquement la part de hasard sans pour autant préserver des surprises, majoritairement bonnes.

Cette démarche est aussi propre à s’approcher de requêtes très prisées bâties sur les fondations constituées de requêtes collatérales. Prenons un exemple concret dans le créneau le plus facile à cette démarche, le tourisme : quand vous serez devenu incontournable pour les moteurs de recherche sur tous les petits villages d’une côte, il vous accordera plus facilement une bonne place pour la capitale de la région si elle est appuyée par sa banlieue ?

mardi 23 novembre 2010

Payer un référencement ou un référenceur ou le faire soit même ?

Une question revient souvent : Pourquoi payer un référenceur au lieu de réaliser soi-même son référencement. Quelques recherches rapides sur les moteurs vont très vite vous amener des résultats sur comment référencer votre site internet.

Il est très facile de trouver sur le web de nos jours, des renseignements sur comment référencer un site internet. Après quelques lectures beaucoup vont pouvoir référencer un site. Les conseils seront toujours les mêmes : Respecter les consignes édictées par Google, les balises méta, le contenu, avec quelques liens sur les annuaires et hop vous vous verrez déjà en première page de Google

Ils seront nombreux à s’arrêter là. D’autres iront plus loin et chercheront à essayer de comprendre comment fonctionne l’algorithme de google. Ils se lanceront dans des lectures sur l’unicité des contenus, la sémantique, la pertinence, les densités,… Au bout de quelques mois, voir plus pour ceux qui ne travaillent pas à plein temps dessus. Ils auront compris comment référencer leur site. Manque de chance pour eux, les informations qu’ils ont lu, sont déjà périmés depuis quelques temps. Ils devront continuer à étudier le référencement.

Pour en revenir à mon expérience personnelle, il y a quelques mois, une idée a germé dans ma tête. Je voulais construire moi même ma maison. Ça à l’air facile, fait par un professionnel du bâtiment. Heureusement que j’ai fait appel à un entrepreneur. Je suis allé sur le chantier quelques jours et j’ai vite compris que son travail n’est pas si facile que ça. Comme dans beaucoup de métiers, une solide expérience ça aide

Le travail du référenceur consiste, sans compter ses solides bases en référencement :
  • Lire des centaines de pages web par jour : Pour se tenir informé des dernières évolutions dans le domaine du référencement. Son métier n’est pas statique mais en perpétuel mutation
  • Vérifier les informations glanées sur la toile : En effectuant des tests, pour ensuite les valider
  • Avoir un sens aigu du relationnel : Pour son travail, il doit établir un vaste réseau sur la toile

En conclusion, il est possible de référencer un site soi même. Il vous suffit juste d’avoir du temps à passer devant votre ordinateur environ 5 / 7 jours plus de 8 heures par jours, de l’argent pour acheter des logiciels spécifiques au référencement, tous ne sont pas gratuits.

En payant pour un référencement, vous rémunérez une personne ou une équipe qui va réaliser un travail pour positionner votre site.

jeudi 18 novembre 2010

Outils pour le référencement naturel

Le référencement, particulièrement dans des domaines hyper concurrentiels, est loin d’être simple et positionner votre site Web dans le top 3 de Google devient particulièrement difficile. Il faut s’armer de patience, enrichir ses compétences en permanence et s’équiper lourdement en outils SEO multiples.

Il existe pléthore d’outils en ligne pour la veille et l’optimisation du référencement naturel de votre site Web.

Voici quelques outils SEO en ligne très pratiques pour améliorer votre productivité :

www.google.com/webmasters/tools?hl=fr :
Webmaster Tools requiert la création d’un compte mais vous permettra de tout connaitre ou presque sur votre site et en modifier ses paramètres (sites link, géo localisation…).

www.google.com/insights/search/?hl=fr :
Sans doute un des outils les plus justes fournit par Google pour savoir quelles sont les mots clés et expressions de votre activité permettant d’avoir le plus de trafic ciblé.

www.referencement-gratuit.com/page-rank.html :
Pour vous permettre de connaître le page rank de votre site Web sur plusieurs data center Google. Outil utile lors de la mise à jour de la tootlbar.

Il existe plusieurs d’autres outils en ligne pour l'optimisation du référencement naturel de votre site Web  n'hésitez pas  de nous contacter !

dimanche 7 novembre 2010

Visibilité sur moteur de recherche, optimisation du référencement

La crédibilité et l’avenir d’un moteur de recherche sont basés sur deux fondamentaux incontournables :
1. Répondre très exactement à l’attente de l’Internaute.
2. Rentabilisez au maximum ses investissements et son savoir.


Pour satisfaire au point 1, l’algorithme du moteur se devra de repérer toutes les astuces ou les divers « pièges », plus ou moins subtils, mis au point par des positionneurs plus ou moins imaginatifs.

Pour satisfaire au point 2, le moteur s’évertuera à éliminer tous les parasites susceptibles de grappiller quelques revenus à améliorer la visibilité d’une entreprise commerciale qui en sera, sans eux, condamnée à acheter de la publicité.

Ces deux démarches sont intimement liées et peuvent se résumer simplement à éliminer positionneurs et référenceurs…

La seule chance de visibilité ne pourra donc être attendue, à terme, que de sites ou de pages répondant au plus stricte, et au plus près, aux bases du positionnement et bénéficiant d’un contenu de haute qualité.

Les trois premières priorités apparaissent comme être :

Le titre de la page, la balise « title ». Elle apparaît en titre du lien dans le moteur de recherche. Elle est concise, claire, attractive, et contient les mots clefs de la page. On y évite pronom, article, verbes conjugués, etc., au maximum, sans atteindre à l’intelligibilité de l’énoncé.

La balise « description » qui décrit le contenu de votre page. Elle reprend les mots clefs titre de la page et développe l’idée de son contenu avec l’utilisation de la deuxième garde de mots clefs. Comme pour la balise « title » on essaye de la construire en utilisant un maximum de mots susceptibles de se trouver dans une requête que le contenu de la page satisfera parfaitement, en limitant au plus stricte les autres et en restant compréhensible et attractif.

Le contenu est hautement didactique (une citation en référence ou en lien extérieur dans des pages du style Wikipedia étant la cible à viser). On utilise « title » et « description » en titre, en sous-titre ou en introduction, dans tous les cas dans la toute première partie du texte (tel que vu par les moteurs !), de la page. Dans le « body texte », on évite de remplacer les mots clefs du titre et de la description par des pronoms ou des synonymes et on fait exactement le contraire avec les mots qui ne sont pas dans le titre et la description.

Ces trois éléments pourraient rester à jamais incontournables pour la simple raison qu’ils semblent guerre contournables par les moteurs. Il s’y ajoute les 1001 autres éléments à soigner dans les moindres détails, des plus importants aux plus anecdotiques. Ils sont eux susceptibles de varier en importance, voir disparaître ou réapparaître, au rythme des innombrables mises aux points propres à atteindre le but ultime, le seul et unique : rester crédible et gagner un maximum d’argent.

La bulle du référencement gonfle encore mais va exploser. Il ne restera que les petites structures très créatives, mobiles intellectuellement, expérimentées et capables en plus de donner quelque chose aux moteurs ; du contenu (plutôt que des services qui, rentables, seront vite repris par les moteurs).

Le sens de l’histoire va de la société industrielle vers la société du savoir qui privilégiera celui-ci (même si son exploitation nécessitera de plus en plus de sueur)…

vendredi 29 octobre 2010

Les différentes sauces du référencement

Comme tous les professionnels du référencement le savent surement, le mot “référencement” est la traduction française du terme SEO. Cette traduction n’est pas le résultat de longues semaines de réflexion de nos chers académiciens mais il a été proposé par JP Eskenazi, ancien dirigeant de Netbooster et validé par la communauté des référenceurs.

A noter que le terme référencement sur Internet a un sens différent d’une personne à l’autre. Pour certains, ce n’est juste que l’action d’optimiser un site et d’acquérir des liens et pour d’autres, c’est le fait d’obtenir de manière globale de la visibilité pour un site que ce soit par l’optimisation, par les liens, par de la publicité, par du marketing (y compris social), …

La plupart du temps, le terme référencement est accompagné d’un autre mot permettant de préciser ainsi le style de référencement effectué ou le style d’offre proposée. En 2 / 3 jours de navigation sur le net, j’ai relevé une petite vingtaine de combinaisons. Je vais essayer de vous les expliquer.

référencement éthique
C’est la combinaison que l’on retrouve le plus souvent ces derniers temps. C’est à croire que le référencement “avant” n’était pas éthique. D’ailleurs, la question que vous pouvez vous poser quand vous lisez “référencement éthique”, c’est : qu’est-ce qui est éthique ?
- le travail effectué par la société (ce qui voudrait dire qu’elle ne surfacture plus ses clients) ?
- ou la méthode de travail (éthique pour le client ? éthique pour Google ?) ?

référencement google
Google étant le moteur de recherche numéro 1 en France, ce référencement a pour objectif de vous apporter un maximum de visibilité sur Google .
A noter que l’on ne voit jamais du “référencement Bing” ou du “référencement Exalead”.

référencement naturel
Ce référencement veut tout simplement dire que l’objectif est d’influer naturellement sur votre référencement en optimisant au mieux vos pages et en augmentant les liens qui pointent vers votre site.

référencement organique
C’est une autre manière de parler de “référencement naturel”. Le terme “organique” donne un côté plus “technique” au travail effectué. C’est aussi, il faut l’admettre, l’occasion d’impressionner un peu plus le client avec des termes “compliqués”.

référencement gratuit
Le référencement gratuit, c’est le fait de faire vous même le travail. Vous optimisez vous-même vos pages et vous partez vous-même à la recherche de liens.

référencement payant
Le référencement payant ne s’oppose pas au référencement gratuit. Il ne désigne pas le fait de faire appel à un professionnel pour faire votre référencement. Le référencement payant est utilisé pour désigner l’achat de liens publicitaires (principalement AdWords).

référencement automatique
Le référencement automatique est apparu avec les communautés d’annuaires. C’est le fait de faire une soumission qui se répercute dans des centaines voire des milliers d’annuaires. Il va de soit que ce n’est pas positif pour votre site.

référencement manuel
C’est le fait de soumettre votre site dans différents annuaires. C’est du travail fait à la main et chaque formulaire de soumission dans chaque annuaire est rempli manuellement.
Il existe aussi du référencement semi-manuel ou semi-automatique.

référencement mobile
C’est une offre de référencement dédié aux mobiles (les téléphones) pour donner plus de visibilité à la version d’un site fait pour les téléphones de la dernière génération (smartphones).

référencement spécifique
Je suppose que c’est une offre de référencement spécifiquement pour votre site à moins que ce soit une offre de référencement sur certains critères.

référencement social
C’est une offre de référencement qui vise tout ce qui est social et plus particulièrement Facebook et Twitter… on peut aussi ajouter Viadeo selon l’attente de votre société et vos cibles.

référencement douteux
Cela ne désigne pas, bien sûr, une offre que propose un professionnel mais désigne plutôt ce qui a été fait par une autre société sur votre site.

référencement négatif
Il existe des prestations de référencement négatif. L’objectif est de déclasser un concurrent pour qu’il perde des positions et ainsi laisser libre champ à votre site sur des mots clés concurrentiels.

référencement accessible
Je ne sais pas trop ce qu’est du référencement accessible. On parle d’un site accessible quand un site est facilement visible pour tout le monde y compris les personnes qui ont des problèmes de vues ou d’audition.

réferencement adulte
Cela concerne le référencement des sites pour adultes et plus particulièrement tout ce qui est lié à l’industrie du sexe. De plus en plus ce milieu adulte constitue un créneau à part. La concurrence étant forte, le retour financier étant très correct, le référencement se doit d’être agressif et utilise souvent des méthodes “limites”. A noter que la rencontre, les jeux d’argent, les casinos et les sites de paris en ligne ont une démarche souvent similaire.

référencement ecommerce
C’est pour le référencement des sites ecommerce. La démarche est similaire que pour un site ordinaire avec une expertise un peu plus poussée autour du module ecommerce (réécriture d’url, optimisation des pages catégories, des pages produits…).

référencement discount
Le référencement discount désigne du référencement à petit prix avec, bien sûr, des services beaucoup plus réduit. Généralement, dans le référencement discount, il n’y a pas de travail sur la durée, ni de rapport de positionnement et l’optimisation est une option qu’il faut payer.

référencement professionnel
C’est une combinaison qui me fait sourire : référencement professionnel. Si le référencement n’est pas fait par un professionnel, on l’appelle comment ? … référencement amateur ??? Non ! Un travail de référencement fait par un non-professionnel, ça s’appelle du “travail de cochon” (désolé pour les cochons) et c’est tout !

référencement black-hat
Le “black-hat” que l’on traduit par “chapeau noir” est le “côté obscur de la force” et souvent ce qu’on retrouve dans le référencement d’un site pour adultes, du référencement “limite” dans les méthodes employées. Un exemple, c’est la création à la chaîne de blogs artificiels avec pour seul objectif de pousser un site.
A noter qu’à côté du “chapeau noir”, il y a aussi le “chapeau blanc” pour celui qui respecte les règles, le “chapeau gris” pour celui qui prends que les choses “correctes” du “chapeau noir” pour les utiliser.
J’ai aussi entendu parlé de “chapeau vert” et de “chapeau rose”.

mercredi 20 octobre 2010

Laboratoire du référencement et analyse, étude positionnement et SEO

Oseox laboratoire référencement
Laboratoire-referencement.fr est un site comme son nom l’indique où l’on analyse le référencement. Son webmaster Aurélien BARDON souhaite partager ses tests afin d’en faire profiter le plus grand nombre et aussi de les faire valider auprès de la communauté des référenceurs français.

Le site n’a pas la prétention d’apporter des vérités, Si certains tests répondent d’une manière catégorique à une question précise, d’autres fourniront plutôt des indications. Il est vrai que les tests peuvent toujours apporter des remarques, des divergences et même des critiques.

Les objectifs du site sont multiples :
  • Tout d’abord d’échanger sur les résultats des tests
  • Partager ces résultats sur le référencement naturel avec le plus grand nombre
  • Centraliser les tests même ceux menés par d’autres référenceurs

Les tests sont réalisés avec un protocole établi, certains tests ont été doublés et même triplés.

Avec une date de réalisation ( plus le test est vieux et moins son efficacité sera prouvée dans l’algorithme actuel ) et les limites des tests.

Les résultats présentés clairement suivant le moteur de recherche testé.

vendredi 15 octobre 2010

Annuaire Dmoz utilisé par Google, est-il mort ?

Annuaire Dmoz
Depuis des années maintenant de nombreuses personnes prédisent la fin toute proche de l’annuaire Dmoz. Qu’en est il vraiment.

L’annuaire DMOZ géré par des milliers d’éditeurs bénévoles à travers le monde, réunis au sein de l’Open Directory Project (ODP).

Depuis sa création en 1998, Dmoz est un annuaire incontournable, car réutilisé par beaucoup et notamment Google au travers de son répertoire. L’inscription dans Dmoz permet aux sites présents d’être trouvé dans tous les sites utilisant l’ODP ( négligeable ) et d’obtenir un lien à forte notoriété aux yeux de Google.

Après le problème technique de 2006, nous pensions Dmoz fini, obsolète mais il est reparti tant bien que mal et toujours utilisé par Google. Il y a les rumeurs régulières fondées ou non sur l’intégrité de certains éditeurs qui favorisent tel ou tel site moyennant rémunération.

En 2010, l’annuaire Dmoz est toujours présent sur la toile, son design n’a pas trop changé au cours des années.

Il est vrai, certaines catégories même importantes avec ou sans éditeur présentent des dates de mises à jour de 2008 voir 2007 pour les plus veilles. Des sites présents dans l’annuaire renvoie une erreur 404, ou ont changé de contenu. Les délais d’attente pour les webmasters ayant présenté un site s allongent.

Mais l’annuaire Dmoz perdure et perdurera tant qu’il sera réutilisé par l’annuaire Google.

mercredi 13 octobre 2010

Le client « expert » et son référenceur

D’OU VIENT-IL ?

Ne vous y trompez pas, il ne s’agit pas là d’une fable de La Fontaine mais d’une réalité à laquelle doit faire face chaque référenceur qui se retrouve parfois face à un type de client bien particulier, ce client s’improvise expert : expert en tout, expert en rien…, sait déjà tout du référencement et vous explique tout, intervient on et off page,… Bref, vous l’aurez compris, le client dont on ne veut pas mais qui se retrouve là sans que l’on ne sache bien pourquoi, sans que nous l’ayons même vu arriver et pourtant… Trop tard ! Vous êtes pris au piège par un client « expert » !

Comme nous avons pu le voir précédemment, si bien choisir son référenceur est capital, tout ne s’arrête pas là.

Après de multiples recherches, vous avez normalement vérifié les références de chaque agence, comparé les tarifs, engagé une discussion téléphonique avec chaque prestataire potentiel susceptible de vous intéresser pour au final, enfin, choisir celle qui s’occupera du référencement de votre site Internet.

Vous prenez donc la peine de lire scrupuleusement le contrat qui vous lie à votre SEO, vous le signez, la prestation démarre et… c’est là que nous, pauvres SEO, malgré que nous aurons pris le temps en amont de filtrer les diverses demandes, risquons la confrontation avec cette espèce en voie de développement : celle du client « expert ».

QUI EST-IL ?

Le client « expert » est :
  • celui qui sait tout et qui ne comprends rien à vos interventions SEO,
  • celui qui après 1 semaine de référencement va vous dire clairement qu’il ne comprend pas pourquoi vous n’avez pas déjà créé 500 liens vers son site
  • celui qui ne saisit pas pourquoi il n’est pas en première page sur un mot clé hyper concurrentiel après… 48h !
  • celui qui n’arrive pas à vous joindre à 22h et trouve cela totalement indécent car… il a payé. Vous devez être à dispo H24 et surtout ne référencer Que son site et même si son budget est pourtant très, très limité,
  • celui qui reste persuadé que la balise keywords est la clé du référencement et dit que vous êtes un incapable pour ne pas l’avoir optimisé,
  • celui qui refuse que vous touchiez au codage de son site de peur que vous ne le fassiez disparaître… Evidemment, un référenceur a pour habitude de faire disparaître des sites… (En blackhat je veux bien mais c’est autre chose… :) )
  • celui qui ne comprend pas que d’un mois sur l’autre, son CA ne se soit pas multiplié par 10

Bref, vous l’aurez compris, le client « expert » est une plaie ! Il a décidé de vous accorder sa confiance et vous reprends tout et même beaucoup plus, dès le démarrage de la prestation. Fort heureusement, il ne représente qu’un infime pourcentage des clients d’un SEO durant toute sa carrière, peut être 0,5% pour ma part.

Il faut le chasser, le bannir et prévenir tous vos confrères quand vous en trouvez un, l’attraper et l’envoyer chez un pseudo confrère SEO improvisé proposant du référencement automatique sur 500 000 annuaires en 2 minutes (humour inside bien sûr) !

QUE FAIT LE CLIENT « EXPERT » ?

Hormis râler et vous accaparer 2 heures par jour au téléphone dès le 3ème jour de la prestation, le client « expert » est rempli d’intentions, jamais bonnes évidemment :
  • il n’a aucune patience et n’arrive pas à comprendre que Rome ait mis plus de 24h à être construite. Il va donc vous mettre la pression en permanence dès que vous démarrez la prestation. Attention, le client « expert » peut même venir chez vous et hanter vos rêves… ou vos cauchemars ! :)
  • il ne va pas comprendre que son site puisse voir son classement s’améliorer puis parfois redescendre puis remonter, etc. Vous lui expliquerez l’effet Yo-yo mais il vous fera tourner en bourrique telle une toupie !
  • il va donc prendre de mauvaises décisions, spécialités du client « expert » et intervenir « off site » : il va créer des liens sans bien sûr vous concerter, va effectuer des échanges de liens avec des sites traitant de produits vétérinaires alors qu’il vend des cadeaux en cuir, s’inscrire à un magnifique programme permettant de créer automatiquement des liens magiques qui rendront son site célèbre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire…
  • il va aussi bien sûr intervenir « on site » et, toujours sans vous demander votre avis, va modifier sa balise title et tout mettre en majuscule car il trouve cela plus joli ou parler de son dernier produit en promo dans la méta title de sa page d’accueil car il est persuadé qu’il en vendra davantage ainsi, il va supprimer ou modifier la balise H1 de sa page d’accueil complètement optimisée par un « Bienvenue » car il est persuadé encore une fois qu’être courtois l’aidera à améliorer son positionnement dans Google, …
  • et pour finir, et c’est un cas réel, il va passer ses journées entières à cliquer sur le lien qu’il aura pris soin de mettre sur son bureau virtuel en pensant que plus son site aura de visite, plus il sera proche de la première position sur Google !

POUR CONCLURE

Après avoir passé beaucoup de temps à bien choisir votre référenceur, apprenez à lui faire confiance rapidement, ne remettez pas son savoir en cause une fois que vous vous êtes engagé avec lui, laissez-le agir seul et patientez.

Quand vous amenez votre voiture chez le carrossier pour une peinture complète, est-ce que l’idée de peindre vous-même l’aile droite pour gagner du temps vous a déjà traversé l’esprit ?

Est-ce que vous remettez sans cesse en doute les qualités du chirurgien que vous avez choisit pour être opéré ? Est-ce que vous avez pour habitude de le conseiller sur les instruments qu’il doit utiliser lors de l’intervention ?
Non ?

Et bien voilà, vous avez donc tout compris, laissez faire votre référenceur car, ne vous méprenez surtout pas, le référencement est un métier qui demande énormément d’implication, de savoir faire, d’expérience et de remises en question de ses connaissances.

Faites le bon choix et laissez le agir !

N.B. : Cet article est dédicacé à une cliente e-commerce qui a véritablement harcelé et traumatisé un collaborateurs en France ! :)

mardi 12 octobre 2010

La semi-délocalisation d’un domaine, délocalisation des pages d'un site web

Actuellement on peut raisonnablement penser que les liens, leurs ancres, ont pris une importance non négligeable dans le bon positionnement d’un domaine dans les moteurs de recherches. Si ces liens émanent de pages de qualité, leur efficacité n’en sera que meilleure.

Les annuaires sont au creux de la vague et les échanges de liens basiques sont par trop souvent décevants que ce soit par leur longévité ou une multiplication exponentielle de liens dans lequel le votre se perdra corps et âme.

Partant du principe que l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même et toujours convaincu que la seule façon de s’extraire de la masse est, et sera toujours, une toute petite touche d’originalité, mon esprit errait dans les arcanes de la meilleure solution d’échanges de liens efficace dans un cercle restreint et c’est interpellé par la mode de la délocalisation que l’idée c’est vraiment esquissée :

Un domaine qui délocaliserait une partie de ses pages quand l’intérêt s’en ferait sentir ?

A l’œuvre sur un domaine traitant du droit du travail, l’occasion faisant le larron, cette idée d’une simplicité déconcertante (les seules qui fonctionnent) se devait d’être mise en œuvre.

Le fond du site, les généralités, seront mises en place sur le domaine, les cas de figure et les exemples émigreront sur des domaines qu’ils touchent accessoirement. L’interaction de l’addiction au tabac et du travail se retrouvera sur un domaine centré santé, le surf internet du poste de travail sur des pages évoquant internet voir la rencontre selon la nature de ce surf, l’empêchement de travailler pour cause de perturbation aérienne ne sera pas dépaysé dans un domaine traitant du transport aérien, etc, etc.

Une page traitant des interactions légales santé-travail sera une annexe intéressante et didactique d’un site de santé et l’internaute plongé dans le droit du travail risque fort de ne même pas s’apercevoir qu’il navigue d’un domaine à l’autre…

L’avantage premier réside dans un échange de liens de qualité aux yeux des moteurs, sûre et facile pour le webmaster. Les avantages annexes restent à découvrir mais pourraient être intéressants à l’exemple d’une approche concrète de la valeur des IP, des vitesses de chargement, des disponibilités de bande passante entre autres (en partant du principe que les pages exportées sont basées sur un masque commun et travaillées de la même main).

Dès ses premières pages, l’exploration du concept se révèle passionnante.

La semi délocalisation des pages d'un site web

vendredi 1 octobre 2010

Podcast: le social shopping

Social Shopping
Lorsqu’on aborde le thème de l’influence sur Internet, on distingue le mythe du bloggeur actif et l’idée reçue selon laquelle plus on fait de bruit plus on est influent. Cependant, l’influence passe en premier lieu par les notions de relations et de proximité.

Le social shopping ou « shopping communautaire » contient cette notion que l’achat que vous faites est influencé par les appréciations de pairs. Et Facebook a très bien compris la dimension de l’influence sur l’acte d’achat. Ainsi le système OpenGraph et le module « J’aime »,  intégrables sur des sites externes, représentent la volonté de Facebook d’avoir la main mise sur le social shopping mais en dehors de son site.

Par l’intégration de telles applications sur les sites de marques qui affichent lesquels de vos amis ont aimé tel ou tel produit, on remarque que la recommandation est ainsi intégrée au cycle d’achat. Alors que vous êtes sur un site marchand, la recommandation personnalisée de Facebook peut encore plus facilement déclencher l’acte d’achat.

mardi 21 septembre 2010

Le référencement Social: SMO (Social Media Optimization)

Le référencement social est une approche du référencement qui permet à votre site Internet d'acquérir un trafic ciblé directement depuis les réseaux sociaux.

Comment assurer une présence optimale dans Facebook, Twitter, Viadeo, etc. pour en faire bénéficier le trafic de votre site Web?

L'animation d'une communauté, dans le cadre d'une stratégie de référencement social permet non seulement de développer la fréquentation, mais aussi la fidélisation de votre audience en créant un vrai lien entre votre site et ses internautes, ou clients.

D'autre part, le référencement social, aussi appelé SMO (Social Media Optimization) a des effets induits sur le référencement naturel du site, donc sur son trafic en provenance des moteurs de recherche.

Facebook: nos professionnels des réseaux sociaux peuvent développer votre présence sur ces plateformes, et animer pour vous, ou vous accompagner dans l'animation de votre groupe Facebook, avec le développement d'un groupe d'amis, de fans d'une page Facebook personnalisée, etc.

Twitter: un réseaux de micro-blogging qui permet d'envoyer instantanément à toute une communauté de "followers" des tweets, c'est à dire des messages courts, renvoyant vers les contenus de votre site. Une présence bien coordonnée sur Twitter vous permettra de gagner du trafic, mais surtout de faire indexer vos "tweets" par Google, puisque le célèbre moteur de recherche nous a annoncé cette nouveauté pour bientôt.
Boostez votre audience et votre e-réputation via les réseaux sociaux.

WebAgency vous forme et vous conseille sur votre stratégie de référencement social. Nous vous apprendrons à optimiser et développer votre présence sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux les plus utilisés.

mercredi 8 septembre 2010

Seules quelques entreprises possèdent une stratégie marketing sur les réseaux sociaux

Une récente étude de l’entreprise américaine Digital Brand Expressions met en avant le fait que la plus part des entreprises en 2010 ne possèdent pas de stratégie marketing précise en ce qui concerne leur présence sur les réseaux sociaux.

Réseaux Sociaux


Comme le marketing traditionnel a intégré les entreprises il y a quelques années, aujourd’hui le webmarketing communautaire (gestion de la présence sur les réseaux sociaux) nécessite la mise en place d’une stratégie, la définition d’objectifs , un planning d’actions, etc.

L’étude menée par la société Digital Brand Expressions, précise que :
  • 78% des entreprises interrogées utilisent les médias sociaux
  • 41% d’entre elles ont une stratégie d’action pour les médias sociaux
  • 88% des entreprises qui n’ont pas de plan pour les médias sociaux pensent que c’est important d’en avoir un.
Enfin, l’enquête montre également que les décisions actuelles concernant la gestion des réseaux sociaux sont confiées pour :
  • 71% des cas à le cellule marketing
  • 29%, des cas au  département corporate communications
  • 10% des cas les départements sales et IT
  • 16% pour l’équipe de management
Avec la croissance exponentielle de la fréquentation des réseaux sociaux, les entreprises devraient rapidement développer un service/cellule « webmarketing communautaire » en y intégrant de nouvelles compétences telle que le community manager, ou bien simplement externaliser cette fonction.

Source : Digimedia

mercredi 18 août 2010

Choisir son référenceur ou sa société de référencement

1. Votre interlocuteur doit être en société. Que ce soit une SARL ou en auto-entrepreneur, il faut que le professionnel ait une structure juridique sur lequel s’appuyer. Ensuite, quand vous faites appel à lui, vous êtes en droit d’avoir un devis. Pour les factures avec toutes les mentions légales, c’est une obligation… tout comme pour vous de les régler à date d’échéance. Payer au noir, c’est vous qui voyez, mais dites-vous bien que si ça tourne mal et que le “référenceur” amène un dépositionnement de votre site, vous ne pouvez rien faire, rien justifier.

2. Certains “professionnels” osent offrir des prestations payantes alors que de leur côté, ils sont hébergés chez un hébergeur gratuit ou une plateforme de blogs. Il va de soit que ces “professionnels du dimanche” sont à éviter. L’hébergement professionnel avec un nom de domaine me semble incontournable pour quelqu’un qui vend des services sur Internet. De mon côté, j’ai un énorme à priori pour celui qui hésite à investir moins d’une vingtaine d’euros par an pour son métier, pour ce qui le fait vivre.

3. Un professionel d’une manière générale doit avoir des références et dans le milieu du référencement, encore plus que les autres. Demandez des exemples de référencements réussis, des preuves que c’est bien eux qui ont effectués la prestation. Peu importe si ce sont des sites perso ou bien les sites d’un copain du référenceur, ce qui compte, ce sont ses compétences et le fait qu’il sache les mettre en application. Un petit conseil, ne faite pas entièrement confiance au rapport que l’on vous transmet, faite les tests vous même sur Google.

4. Je ne suis pas une lumière au niveau de la rédaction et ces derniers jours, je tombe régulièrement sur des “professionnels” qui ne savent pas écrire. Dernièrement, je suis tombé (je ne sais plus qui) sur un “professionnel” du référencement dont tout le texte de son site est sans accent. Sachant que la partie éditoriale est importante au niveau du référencement, il est bon de choisir quelqu’un dont le rédactionnel est correct ou au moins pas plus mauvais que moi !

5. Je continue avec le côté rédactionnel du professionnel du référencement. Personnellement, je déteste les personnes qui utilisent des mots anglais dans tous les sens dans leurs discussions mais aussi dans leurs textes rédigés. En français, nous avons des mots, des expressions pour chaque terme, il est inutile de glisser de l’anglais à tout moment. Ce n’est pas important en soit sauf si dans son éditorial pour votre site il fait la même chose. Si vous avez une vision européenne pour votre site, il est conseillé d’avoir un domaine par langue.

6. Il faut éviter ceux qui aiment s’envoyer des fleurs. Je me rappelle en 2000 certains “professionnels” du référencement avec plus de 10 ans d’expérience sur le net… surtout quand on sait que le net est vraiment apparu en 1995. Je n’aime pas ces gens qui ont tout fait, tout vu à 20 ans, les “moi-je” qui ont tout appris à tout le monde, même à Google !

7. Après les fleurs, voici la lune… je vous déconseille profondemment de faire confiance à ceux qui vous promettent la lune. Dans le référencement, il y a des règles. Si on applique ces règles, il n’y a aucune raison que les résultats ne soient pas au rendez-vous. Mais l’algorithme de Google est composé de centaines, voire de milliers de paramètres, il est donc impossible de s’engager à 100%, à 1000% sur des résultats précis sur la durée. Une personne, un référenceur qui s’engage à fond sur du positionnement en première page sur n’importe quelle requête, il y a des chances qu’il cherche à vous vendre des campagnes publicitaires (dit aussi du référencement payant) Google AdWords.

8. Je vous déconseille de choisir un prestataire avec un blog qui contient 2 / 3 billets par jour et qui se montre très présent sur les forums. Bien sûr, il est sûrement très compétent, mais la question que je me pose est, comment il s’occupe de ses clients avec cette omniprésence sur son blog et sur les forums ??? Soit il n’a pas de clients, soit il délaisse ses clients, soit lui est sur son blog et les forums et un autre s’occupe des clients. Ce sont 3 réponses qui ne me donne pas envie de travailler avec lui.

9. Certains d’entre vous hésitent à travailler avec des prestataires se situant hors de France. Je vous rassure, le pays d’origine de la société de référencement n’a pas d’importance. La société peut être en Tunisie, en Roumanie, en Côte d’Ivoire, à Madagascar ou n’importe quel autre pays, ce n’est pas grave. Dans la mesure où la société maîtrise très bien le français et qu’elle connaît son travail (avec de bons exemples à vous montrer)… où est le problème. Au contraire, je vous invite à profiter de leurs prix normalement moins chers… et s’ils veulent s’aligner au niveau tarif sur ce qui se fait en France, n’hésitez pas à leur fait comprendre qu’ils n’ont plus rien d’attractif par rapport à la société de référencement qui n’est pas loin de chez vous !

10. Enfin, j’ai tendance à me méfier des inconnus du référencement. On ne nait pas référenceur. On ne l’apprends pas à l’école non plus… bien que si, il paraît que désormais ce métier “s’apprend” à l’école. Pour moi, un référenceur, c’est quelqu’un qui a de l’expérience, qui a vu les choses évoluer, qui peut comprendre les tenants et les aboutissants de chaque chose… alors, un référenceur de 18 ans, non merci, je n’y crois pas. Un conseil, n’hésitez pas à chercher sur Google toutes les infos sur votre interlocuteur.

Ce sont 10 points pour choisir votre référenceur ou votre société de référencement. Il est possible de rajouter 10 points supplémentaires, voire même plus mais avec ceux là, vous allez déjà pouvoir mieux sélectionner le professionnel avec qui vous allez peut-être travailler.

lundi 5 juillet 2010

Les Réseaux sociaux ont un vrai potentiel marketing

Pour ceux qui doutent  encore de l’importance de la présence des marques sur les réseaux sociaux, voici une étude mettant en avant :
  • les chiffres clés des activités des internautes sur les réseaux sociaux
  • l’intérêt des internautes pour les marques (fan page)
  • la typologie des comportements de ceux-ci, etc.
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Acxiom a récemment mené une enquête online auprès de 2000 Internautes sur la période du 1er mai au 8 mai 2010. L’échantillon obtenu a été redressé afin d’être représentatif des internautes français et les résultats extrapolés pour une meilleure appréciation des enjeux.
Chiffres clés de l’activité des internautes sur les réseaux sociaux
Facebook : agrégateur d’audience

17 millions : c’est le nombre d’utilisateurs des réseaux sociaux, cela représente 49% des Internautes. Avec 16 millions d’utilisateurs déclarés, Facebook arrive largement en tête devant le site communautaire Copains d’avant. Sans surprise, le phénomène est très important chez les plus jeunes : 75% des 18-24 ans sont inscrits.

La fréquence de connexion et le temps passé par les Internautes sont aussi révélateurs. Ils sont en effet nombreux à se connecter plusieurs fois par jour sur Facebook.

Réseaux sociaux contact communauté

Les réseaux sociaux : pour quoi faire ?

La première raison d’inscription est de rester en contact avec son entourage pour 87% des inscrits, mais aussi partager des photos, des liens et des vidéos pour 42%, et échanger des informations sur leurs centres d’intérêts pour 32%.
Membres Réseau Social

Cette capacité à agréger l’audience intéresse les marques. Elles perçoivent l’opportunité de pouvoir communiquer au plus grand nombre, de pouvoir également se constituer une base de données de leurs fans. Est-ce réellement légitime ? Les internautes attendent-ils réellement de la communication de la part des marques sur les réseaux sociaux ?

Une démarche proactive des utilisateurs vis-à-vis des marques

2.5 millions : c’est le nombre d’Internautes inscrits sur les pages des marques, soient 15% des internautes inscrits à au moins un réseau. S’ils consultent les pages des marques pour tout simplement consulter le contenu proposé (74%), ils s’y sont inscrits pour recevoir des offres promotionnelles (49%), mais aussi pour exprimer qu’ils sont fans de la marque (34%).

Marques Réseau Social


Sur 35 millions d’Internautes, 17 millions de membres, et 2.5 millions d’inscrits sur les pages des marques, ce sont donc quelques 1.2 millions d’Internautes (49%) qui s’inscrivent sur les pages des marques sur les réseaux sociaux afin de recevoir des offres promotionnelles. Cette population représente à peine 9% des inscrits et 4% des Internautes.

Le résultat ci-dessous le confirme, seulement 16% apprécient les publicités des marques sur les réseaux sociaux, 32% ne les apprécient pas et 52% ne s’y intéressent pas …

Réseaux Sociaux - Offres promotionnelles

La publicité doit donc être utilisée par les marques avec parcimonie. Elle doit être légitime et cette légitimité s’exprime d’ailleurs par l’inscription à une page des marques.

Afin d’y voir plus clair, Acxiom a construit une typologie qui permet d’identifier cinq groupes de comportement sur Internet vis-à-vis des réseaux sociaux.

Typologie des comportements des internautes en matière de  réseaux sociaux

Les Networkers (9.0 millions d’Internautes)
Ce sont des utilisateurs réguliers des réseaux sociaux. Ils les utilisent pour être en relation avec leur entourage, partager des photos et des informations. Ils n’attendent pas de communication de la part des marques sur les réseaux.

Les Fans (3.4 millions)
Ils sont membres des réseaux sociaux et s’inscrivent sans hésiter aux pages des marques dont ils sont Fans. Ils souhaitent recevoir des offres promotionnelles et exclusives de la part des marques sur les réseaux sociaux. Ils sont consommateurs : ils n’hésitent pas à communiquer sur leur expérience avec les marques.

Les partageurs de sensation (4.0 millions)
Ils utilisent Internet pour regarder des films en VOD, écouter de la musique. Ils sont pour 80% d’entre eux inscrits sur les réseaux sociaux, mais n’en attendent rien d’autre que le partage de vidéos et de photos. Ils communiquent sur les réseaux sociaux leurs avis sur les vidéos, les musiques et les films qu’ils apprécient.

Les Solos (6.5 millions)
Ce sont des personnes seules, ils ne sont pas inscrits sur les réseaux sociaux. Ils n’utilisent pas Internet pour rester en contact avec leur entourage mais au contraire ont une utilisation d’Internet très personnelle (gestion de leurs affaires, recherches personnelles).

Les Internautes traditionnels (12.0 millions)
Ce sont les Internautes qui ne sont pas encore inscrits à un réseau social. Ils sont sur-représentés parmi les couples sans enfant et notamment sur les plus de 60 ans. Ils utilisent Internet de manière traditionnelle, mais y passent moins de temps que les groupes précédents.

Les réseaux sociaux : un nouveau canal de communication à fort potentiel marketing pour les annonceurs ?

Ces chiffres, qui démontrent à la fois l’impact des réseaux sociaux et la démarche active d’une partie de leurs membres, révèlent le potentiel de la publicité sur ces nouveaux médias à condition de le travailler à bon escient.

Si l’on tient compte du fait que 70% des foyers français sont aujourd’hui internautes et que ce chiffre a doublé depuis 2005, il ne fait aucun doute, compte tenu des effets générationnels, que ce phénomène va continuer à s’affirmer. Il y a donc fort à parier que les réseaux sociaux vont donc naturellement bénéficier de cette croissance. Aujourd’hui, même les seniors sont sur Internet et s’inscrivent à des réseaux sociaux.

Avec 17 millions d’internautes de tous âges membres de réseaux sociaux, certains annonceurs n’ont donc pas attendus pour être présents, à leur tour, sur les réseaux sociaux et intégrer Facebook, Twitter, ou LinkedIn dans leur stratégie d’acquisition clients, aux côtés d’autres mécaniques (search, display, emailing…). Selon une enquête Forrester réalisée au dernier trimestre de l’année 2009 aux Etats-Unis et en Europe, 18% des sociétés interrogées déclaraient qu’elles allaient intégrer ou développer l’utilisation des médias sociaux en 2010. Leur objectif : tirer profit de la puissance et du potentiel des réseaux sociaux pour augmenter leurs performances marketing.

Il n’est d’ailleurs pas rare, aujourd’hui, de recevoir de la part des marques des emails marketing qui mentionnent leur présence sur les réseaux sociaux, qui encouragent les destinataires du message, via un bouton « call to action », à devenir « fan de la marque », et à partager l’information avec leurs amis, leurs contacts. Sans oublier qu’elles n’hésitent pas non plus à proposer des gains pour inciter ces internautes à relayer une promotion, une offre, une information ou recommander un produit auprès de leur réseau. Le couplage email marketing / réseaux sociaux offre ainsi un formidable potentiel d’acquisition de nouveaux clients à moindre coût.

Eu égard à l’ampleur du phénomène et au potentiel de marché offert, intégrer les réseaux sociaux dans sa stratégie marketing semble donc une évidence aujourd’hui pour les annonceurs. Cependant, comment s’assurer que, face à cette exposition media, le consommateur va s’y retrouver ? Comment s’assurer qu’il recevra des messages cohérents ? Comment s’assurer de la légitimité de la communication et comment faire en sorte que les messages soient rebond d’un media à l’autre ? Avec une telle audience de tous âges membres de réseaux sociaux, il devient donc impératif pour les annonceurs de cibler de manière précise ces internautes pour optimiser leurs actions d’acquisition et de fidélisation clients.

Si Internet a indéniablement bousculé les canaux de communication traditionnels, la diversité des médias aujourd’hui à disposition des consommateurs a un véritable impact sur les différentes approches marketing. L’enjeu n’est plus de choisir un canal de communication pour toucher le client mais bien d’identifier ses canaux préférés et de créer une relation interactive entre l’annonceur et le consommateur. Constituant aujourd’hui des canaux de communications forts, les médias collaboratifs s’ouvrent aux annonceurs, séduits par leur essor actuel et surtout par leur puissance de frappe, de ciblage et de diffusion.

Source: Marketing Professionnel

jeudi 24 juin 2010

Le temps passé en 2010 sur internet

Voici un schéma décrit par visualeconomics montrant le temps passé par les internautes sur le web en 2010, les différentes marques consultées et l’usage des réseaux sociaux par pays.

Le temps passé en 2010 sur internet

vendredi 21 mai 2010

Gnoztik outil de diagnostik SEO gratuit audit référencement

Vous êtes une personne n’ayant pas de budget référencement. Vous souhaitez quand même voir votre site sur les premières pages de Google. Je vous présente GnoZtiK un outil gratuit permettant une analyse rapide de votre site.

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, GnoZtiK est un outil permettant d’obtenir des informations et des conseils pour positionner un site. Il procède à une analyse sur trois critères qui sont le PageRank, blacklink et le contenu HTML.

Gnoztik diagnostik SEO



Après une prise en main facile, vous obtiendrez rapidement avec GnoZtiK un audit pour optimiser votre site. Pas besoin d’être un expert SEO pour la lecture des audits, ils sont simples, agrémentés de graphiques bien utiles.

Les audits se composent de six onglets donnant des informations pour optimiser le positionnement d’un site. L’onglet présentation vous fait un résumé du travail à effectuer sur le site.

Vous obtenez sur les onglets suivants des informations sur le classement, le pagerank et les blacklinks des sites bien positionnés sur Google. GnoZtiK vous donne également des e mails types pour les échanges de liens et ainsi obtenir des blacklinks. Vous pouvez personnaliser ces mails et les adapter à votre secteur d’activité.

L’onglet le plus intéressant est sûrement celui sur le contenu HTML. Il présente un comparatif entre le contenu de votre site et celui des sites figurant sur la première page des résultats de Google. La couleur et la grosseur des mots vous permettent de voir d’un seul coup d œil la densité de mots clés optimale.

GnoZtiK vous permet d’analyser votre site sur Google dans plusieurs versions, utile pour les sites multilingues.

Le plus de cet outil est vraiment l’analyse rapide du contenu HTML qui sans rentrer dans le détail, vous permet d’optimiser les mots clés de votre site.

mardi 30 mars 2010

Le référencement binaire - Référencement payant organique et optimisation

Au fil des ans le référencement a subi de nombreuses mutations. L’objectif reste bien entendu d’être bien classé avec son ou ses sites dans les moteurs de recherche, ça on est tous d’accord, enfin presque.

Il y a quelques jours je présentais mon activité de référenceur à la Chambre de Commerce. J’ai été agréablement surpris que mon interlocuteur connaisse le mot « référencement » et sa signification. Inutile de lui parler de techniques de positionnement, l’essentiel étant d’être bien placé et vu.

Cependant là où j’ai été surpris, c’est que mon interlocuteur associait « référencement » et « publicité ». Le monde aurait-il changé ?

A de nombreuses reprises on m’a chatouillé sur l’association du mot « publicité » et « référencement ». Il y avait ceux qui prônait le référencement organique, et quelques autres qui prônait le référencement payant (j’en faisais parti en 1998 avec France-Sites.com). Pourtant tout cela semble bien ambiguë pour les amateurs de référencement organique.

Comment fonctionne le référencement ?

A la base il s’agit de proposer son site aux outils de recherche. On sait, par définition, que les moteurs de recherche sont la première source de trafic et illico on cherche à se rendre visible dessus et à se positionner. Cela s’appelle de la publicité gratuite, « gratuit » est ici un mot très relatif, mais de la publicité tout de même.

Les uns et les autres optimisent alors au mieux le site en adaptant le contenu du site aux moteurs de recherche et là, pratiquement tous les moyens sont bons. Rédaction de textes, structuration compatible, échanges de liens divers dont on ne sait pas trop à qui profite le crime, bref il s’agit de l’arme de base du référencement. Évidement cela ne suffit pas toujours et certains seront alors tenté d’avoir recours à la force obscure … la sur-optimisation ? Oui sans doute mais pas forcement.

Le référencement est aujourd’hui régi par une autre force, l’argent. Si au début du référencement internet, l’argent était un tabou, le vent semble avoir soufflé sur cette situation. L’exemple, déjà à l’époque, vient des pays anglo-saxons et les Etats-Unis en particulier. Je me souviens parfaitement des agences anglophones et l’usage des services de référencement payants dans les moteurs de recherche.

A la différence des entreprises françaises, les nord-américains, comme les anglais d’ailleurs, considèrent le référencement comme de la publicité. Celles-ci ne négligent pas pour autant le référencement organique, mais considère le SEO comme une parti intégrante du SEM (Search Engine Marketing).

Ou cherchons nous ? Dans Google évidement, mais pas seulement. Je veux être visible et positionné dans Google, mais pas seulement, je veux aussi être visible aux endroits qui ont une fréquentation, de préférence en rapport avec les services que je propose.

Le référencement n’est donc pas binaire, mais un très large champ d’application du marketing en ligne, et qui dit marketing, dit aussi publicité.

lundi 22 mars 2010

Top 10 des priorités du marketing digital

Priorité Marketing Digital
La société Anderson Analytics a publié son rapport annuel des tendances dans le marketing. Ainsi le retour du investissement la  préoccupation première des directeurs marketing pour cette année 2010. C’est semble t’il un effet du ralentissement de la consommation des ménages et du besoin de faire des économies sur certains postes de dépenses (notamment le marketing).

La deuxième tendance est la fidélisation des consommateurs.  Celle-ci va également dans le sens de la rationalisation des investissements. En effet, il est couteux et difficile de convaincre un nouveau consommateur. Autant tout faire pour le garder puisqu’il est plus facile et surtout moins couteux de convaincre une deuxième fois.

Notons enfin que le ROI par les médias sociaux fait son entrée dans le top 10. Une nouvelle tendance qui a également pour but de fidéliser les consommateurs par de nouveaux canaux de communication.

Le marketing online

L’étude montre aussi les directions marketing consacreront cette année 45% de leur budget aux nouveaux médias. Au tendance pour le marketing en ligne: Les petites entreprises sont beaucoup plus susceptibles de communiquer à partir des médias en lignes et d’investir près de la moitié de leur budget marketing (48% contre 30% pour les grandes entreprises).

Terminons en disant que plus de 70% des directions marketing interrogées envisagent de nouvelles initiatives avec les médias sociaux et qu’elle se rendent compte de l’importance de ce nouveau canal de communication.
Diagramme Marketing Digital

mardi 2 mars 2010

Quelques chiffres du Web et des réseaux sociaux

Quelques chiffres du Web et des réseaux sociaux:
Chiffres du Web et des réseaux sociaux
1,73 milliards d’internautes dans le monde, plus de 247 milliards d’emails envoyés quotidiennement, 81% des mails sont des spams, +234 millions de sites web, 400 millions de membres sur Facebook, 1 milliard de vidéos vues quotidiennement sur YouTube...

jeudi 25 février 2010

Référencement: Travail ou Sorcellerie

Vous êtes nombreux à vouloir connaître les techniques pour un bon référencement de votre site. Les forums débordent de questions : Existe t il une astuce pour faire apparaitre mon site dans la première page de Google ? Que dois je faire pour voir mon site dans le top dix de google ? Aider moi pour le référencement de mon site ?

Certains vous promettent la solution miracle pour référencer votre site, l’astuce connue par eux seuls et non divulguée à ce jour.

Voilà maintenant 6 ans que je référence des sites internet, que j’étudie les SERP’s, parcours des centaines de pages web par jour, sur les links, les ancres, pagerank, trustrank et bien d autres critères entrant dans l’algorithme de Google. Et malheureusement je n’ai pas trouvé de solution me permettant de rester à la maison au lieu de me rendre au bureau.

Certains magiciens faisant partis du coté obscur de la force vous donnent la solution pour quelques euros. Ces manipulateurs comme je les appelle vous promettent pour une somme dérisoire au début le truc, la formule miracle qui propulsera votre site en haut des résultats.

Pourquoi des manipulateurs : Google est une société internationale qui brassent des milliards. Il a fait sa réputation sur la pertinence des résultats de son moteur de recherche. Son algorithme est un secret le mieux gardé au monde. Un grand nombre de personnes ont tenté plus ou moins bien de manipuler les résultats du moteur de recherche. Les sanctions ont été à la hauteur des techniques utilisées.

Mes conseils pour bien référencer votre site sont très simples. Ils ne sont pas fracassants mais ils ont le mérite d’être clair. Il faut du travail et de la patience.

LE TRAVAIL : La solution pour référencer votre site est donnée par Google lui même, dans l’Aide au référencement. Ensuite les lectures annexes nombreuses et variées pour améliorer votre positionnement sont sur les blogs et forums dédiés au référencement. Ils sont nombreux sur la toile. Les webmasters vous font part de leurs différentes expériences dans le domaine du référencement. Je ne désire pas les citer car ils sont si nombreux. Il suffit de taper forum référencement ou blog référencement sur Google.

LA PATIENCE : Pour bien référencer un site il faut être patient, les résultats se feront sentir au bout de quelques mois pour un référencement naturel. Pour un référencement par achat de mots clés, c’est immédiat avec Adwords mais fort couteux à la longue. Il est préférable de coupler les deux au début.

Pour certains les lectures sur le référencement seront indigestes. Pour d’autres, ils commenceront à comprendre que référencer un site n’est pas si simple. Il faut plaire au roi Google, impossible sans un travail de recherche et de compréhension des critères des moteurs.

Si vous ne comprenez rien au référencement ou tout simplement vous n’avez pas de temps à investir dedans. Vous pouvez confier cette lourde tâche qui est le référencement de votre site à une agence de référencement. Elles sont nombreuses à travailler dans l’ombre de site que vous utilisez tous les jours car ils sont très bien référencés
conclusion

Le référencement n’est pas de la sorcellerie, mais bien un travail et la première vertu du référenceur est la patience.

REFERENCEMENT : TRAVAIL et PATIENCE

lundi 1 février 2010

Médias sociaux: une priorité marketing en 2010

Une étude de Emarketer montre que pour plus de 87% des directions marketing, les médias sociaux seront une priorité dans les budgets marketing en 2010.
Marketing Média

Ainsi après une année d’expérimentation en matière de réseaux sociaux,  2010 devrait être l’année de la mise en place de véritables stratégies de communication en ligne et de travail de l’e-réputation. On remarque ainsi une recrudescence de l’utilisation des blogs par les entreprises qui est un des signes de cette tendance.

Actuellement, certains acteurs du Web comme les agences de référencement, se lancent dans ce nouveau business des médias sociaux qui est une nouvelle source de trafic majeure. Cependant, beaucoup de ces agences appliquent les techniques traditionnelles de marketing pour les médias sociaux. Mais le webmarketing communautaire ne se résume pas aux millions d’inscrits sur Facebook ou Twitter. Il est nécessaire de réaliser une étude en fonction de chaque cas d’entreprise et de mettre en place des actions ciblées et réfléchies.

C’est ce que s’efforce de faire chaque jour notre agence, WebAgency. Ce n’est pas une communication de masse mais bien une communication personnalisée et pensée que nous proposons à nos clients.

Source: médiasociaux